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Centrale NaVDLaro, juge et flic

fig 1 :


Le langage VDL possède une puissante interface de débuggage collectif; et quoi de plus normal pour un framework multi-agents multi-système multi-thread et multi-multi? Les ergonomes ont pensé à tout, il suffit de posser des bombes pour faire exploser les bugs avec.

Les utilisateurs ne sont pas en reste niveau ergonomie, les commandes se passent en effet à travers d'une interface extrement intuitive, cf fig. 2 où le grand-supervisseur de la loge VDL rue du capitaine Scott teste le travail décevant des stagiaires.

fig 3 : alégorie de la fig. 2


Il aurait en effet préféré une interface à la MonkeyIsland qui lui rappellait son enfance (ou tout du moins celle de ses neveux), mais le grand Gloubamax sait rester magnanime. Et puis de toutes facons il a toujours pensé qu'il fallait se meffier des clients qui viennent en scooter.

Il faut admettre que Zak Galou manie le mensonge - à défaut d'autre chose - avec un talent certain. Néanmoins, les personnes soucieuses de vérité historique sauront reconnaître dans les images détournées ici d'authentiques documents historiques, recueillies par une grande entreprise (encore un peu) publique française dont je ne donnerais que les initiales afin d'en préserver l'anonymat : EDF. En effet, cette belle et saine entreprise a lancé il y a peu un grand projet de simulation participative, consistant à placer des travailleurs talentueux et obstinés dans des situations inédites pour eux sur ordinateur. Ils ont filmé les expériences et bien entendu, ce fourbe de Zak Galou, dont on ne dira jamais assez les accointances politico-médiatico-religieuso-lepéniste, a détourné ces vidéos pour en extraire ces images pseudo-compromettantes.

Quoi qu'il en soit, et comme le disait souvent son grand-père lorsqu'il était éveillé en pleine nuit par un coup de coude assassin sous prétexte qu'il ronflotait un brin : rira bien qui ne perd rien pour attendre un peu le dernier.

Il faut admettre que Zak Galou manie le mensonge - à défaut d'autre chose - avec un talent certain. Néanmoins, les personnes soucieuses de vérité historique sauront reconnaître dans les images détournées ici d'authentiques documents historiques, recueillies par une grande entreprise (encore un peu) publique française dont je ne donnerais que les initiales afin d'en préserver l'anonymat : EDF. En effet, cette belle et saine entreprise a lancé il y a peu un grand projet de simulation participative, consistant à placer des travailleurs talentueux et obstinés dans des situations inédites pour eux sur ordinateur. Ils ont filmé les expériences et bien entendu, ce fourbe de Zak Galou, dont on ne dira jamais assez les accointances politico-médiatico-religieuso-lepéniste, a détourné ces vidéos pour en extraire ces images pseudo-compromettantes.

Quoi qu'il en soit, et comme le disait souvent son grand-père lorsqu'il était éveillé en pleine nuit par un coup de coude assassin sous prétexte qu'il ronflotait un brin : rira bien qui ne perd rien pour attendre un peu le dernier.

Il faut admettre que Zak Galou manie le mensonge - à défaut d'autre chose - avec un talent certain. Néanmoins, les personnes soucieuses de vérité historique sauront reconnaître dans les images détournées ici d'authentiques documents historiques, recueillies par une grande entreprise (encore un peu) publique française dont je ne donnerais que les initiales afin d'en préserver l'anonymat : EDF. En effet, cette belle et saine entreprise a lancé il y a peu un grand projet de simulation participative, consistant à placer des travailleurs talentueux et obstinés dans des situations inédites pour eux sur ordinateur. Ils ont filmé les expériences et bien entendu, ce fourbe de Zak Galou, dont on ne dira jamais assez les accointances politico-médiatico-religieuso-lepéniste, a détourné ces vidéos pour en extraire ces images pseudo-compromettantes.

Quoi qu'il en soit, et comme le disait souvent son grand-père lorsqu'il était éveillé en pleine nuit par un coup de coude assassin sous prétexte qu'il ronflotait un brin : rira bien qui ne perd rien pour attendre un peu le dernier.

Il faut admettre que Zak Galou manie le mensonge - à défaut d'autre chose - avec un talent certain. Néanmoins, les personnes soucieuses de vérité historique sauront reconnaître dans les images détournées ici d'authentiques documents historiques, recueillies par une grande entreprise (encore un peu) publique française dont je ne donnerais que les initiales afin d'en préserver l'anonymat : EDF. En effet, cette belle et saine entreprise a lancé il y a peu un grand projet de simulation participative, consistant à placer des travailleurs talentueux et obstinés dans des situations inédites pour eux sur ordinateur. Ils ont filmé les expériences et bien entendu, ce fourbe de Zak Galou, dont on ne dira jamais assez les accointances politico-médiatico-religieuso-lepéniste, a détourné ces vidéos pour en extraire ces images pseudo-compromettantes.

Quoi qu'il en soit, et comme le disait souvent son grand-père lorsqu'il était éveillé en pleine nuit par un coup de coude assassin sous prétexte qu'il ronflotait un brin : rira bien qui ne perd rien pour attendre un peu le dernier.

Et je met le message quatre fois pour montrer mon agacement (et accessoirement que blogger déconne grave sa mère ce soir)

Alors je me doit de rétablir la vérité que Glou tente perfidement de travestir : je n'ai jamais eu d'accointances politque, médiatique ou religieuse

Et comme disait mon grand mère (qui avait un peu d'al-Zeihmer) : la nuit toutes les pierres qui roule avant avant les boeufs!

En plus, il utilise des expressions qui n'ont ni queue ni midi à dix-huit heures. C'est dire si sa perfidie n'a d'égale que son indélicatesse

Ah oui tient j'ai mit deux fois avant avant. C'est étrange ca ne me ressemble pas du tout.

Heureusement pour toi, car qui se ressemble vaut mieux que deux tu l'auras

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