Les aventures extraordinaires de Zak Galou - Episode 4 : Zak Galou contre le Big Bad
En relisant le dernier post de Manu sur le blog du Laipsiks, Zak Galou se rendit compte que la mouvance hétérosexuelle du Laipsiks commençait à prendre le pas sur l'hétérogénéité conceptuelle qui avait conduit à la création de ce blog pluri-étage - à défaut d'être pluri-culturel. Bien sûr, il y avait bien l'ambiguïté sexuelle d'un Bubu, dont les attirances sont à partager équitablement entre les équidés, l'espèce canine et tout ce qui a bites, nichons ou entonnoirs.
Il en était là de ses réflexions toute philosophiques, qui n'étaient d'ailleurs pas sans rappeler le dernier opus de BHL, lorsque pénétra - on en est tous réduit à ça, au fond - l'innommable ThisUserNameIsBoarf, dans la petite salle des stagiaires du troisième.
ThisUserNameIsBidon était un fan inconditionnel des comics consacrés à Zak Galou - un véritable fan qui poussait le mimétisme avec son héros jusqu'à se laisser pousser les cheveux et les opinions politiques hors de toute mesure. Les rares venues de ThisUserNameIsOulala mettaient Zak Galou dans un état de rage indescriptible, tant l'amour passionnel que semblait lui porter cet individu dont les tenues tenaient du Eddy Barclay post-sixième mariage, était pesant et improductif. Pourtant, dans sa naïveté (qui tenait toute entière dans son mantra : "je fais de la recherche opérationnelle" - comme si la recherche pouvait être opérationnelle, ahahaha), Zak Galou ne pouvait pas se douter que ThisUserNameIsFlyMeToTheMoon était le Very Big Bad qu'il attendait depuis le commencement du monde - et plus sûrement depuis le début de cette série dont ce post constitue et le quatrième et le plus mauvais épisode.
Revenons sur un phénomène de société qui débuta au début de sa vie et qui devait conduire ThisUserNameIsGoloGoloDansLaCase à la pointe de la modernité en matière de lutte contre les injustices sociales, qui d'ailleurs révoltaient déjà son arrière arrière grand-père le duc de Cradingue, qui disait souvent à Marie-Antoinette : "Tu sais ma grosse, t'as beau ressembler à la meuf de Spiderman, j'suis quand même vachement emmerdé par la situation du peuple", ce à quoi l'illustre autrichienne répondait avec beaucoup d'humour : "Mais c'est bien sûr, où avais-je la tête ?"
Issu d'une famille très très noble jusqu'au début 1789, très très révolutionnaire jusque sous Napoléon, très très bonapartiste jusqu'au début avril 1814, vachement royaliste ensuite, avant de faire une rechute de cent jours en 1815, puis ayant adopté une attitude bourgeoise qui devait perdurer jusqu'en mai 1968 et l'avènement de ce que Zak Galou appelle parfois poétiquement "ces enculés de gauchistes de merde", ThisUserNameIsTaratataTsoinTsoin était un véritable social-énervé.
Dans les ruines pompidoliennes naquit l'intuition politique du père de ThisUserNameIsOupsIDidItAgain qu'était venu le temps des cathédrales, que le monde était entré dans un nouveau millénaire, que l'homme avait voulu monter jusqu'aux étoiles, etc, etc. Après son internement, son fils adopta une ligne de conduite qui devait le conduire à réaliser son rêve : passer au journal télévisé.
A l'école maternelle, il fonda son premier syndicat "Tous ensemble pour le goûter", qui visait à destabiliser les surveillants oppresseurs du pain-beurre-confiture et du lait grenadine ; parvenu aux prix d'une longue négociation avec les partenaires sociaux à entrer en CP, il eut une scolarité presque normale (à quelques manifs près pour la libération des cocottes en papier) jusqu'à la création, au deuxième trimestre de CM2, d'un nouveau syndicat bien plus ambitieux : "Tous ensemble pour la sixième", dont le but comme le nom l'indiquait était de faire entrer tous les élèves au collège - il trouvait inadmissible que sous prétexte que certains hésitaient encore à mettre deux "s" à bistouquette, il fallait leur fermer les portes d'un avenir radieux.
Le collège fut un véritable plaisir pour lui, notamment lorsqu'il participa à la construction d'un boat people pour les inondés de Picardie, et qu'il passa pour la première fois à la télé, dans "C'est pas Sorcier" (le thème de l'émission ce jour là était "Comment marche un assemblée générale étudiante").
Le lycée, pourtant, fut sans commune mesure avec ce qu'il avait vécu auparavant. Délégué de classe, délégué syndical du mouvement "Tous ensemble pour le Bac", qui visait à faire obtenir à tous les lycéens leur baccalauréat - il trouvait d'ailleurs scandaleux que sous prétexte que certains avaient tendance à mettre deux "b" au pont Mirabo, (sous lequel d'ailleurs coule la scène, et ses amours faucille (et marteau) qu'il s'en souvienne, le joint venait toujours après l'haleine, Viennes la nuit, sonne l'Eure, les jours savon, île deux meurent Yoyome Apoluminaire n'est plus ce qu'il était) il fallait leur bloquer l'accès aux études inférieures ?? Le lycée fut donc une période faste durant laquelle il développa un franc-parler qui ne devait qu'en 2002 devenir un euro-parler.
Bref, il était prêt pour l'université où son talent désormais légendaire d'empêcheur de-rentrer-dans-la-fac en rond devait s'ouvrir comme une fleur des champs s'ouvre aux premiers rayons du printemps-la-redoute.
Donc, avec stupéfaction, Zak Galou vit entrer dans la salle des stagiaires du troisième l'innénarrable ThisUserNameIsPouic.
Ce qu'ils firent ensuite, les mots durs qu'il échangèrent, la lutte mortelle qui devait s'ensuivre, le retour blagueur de Mortadelle, l'apparition telle Obiwan à la fin du retour du jedi de Bubu en robe de chambre bleutée, tout cela, vous vous en doutez, vous l'apprendrez dans le prochain épisode des aventures extraordinaires de Zak Galou, le seul aventurier qui ne travaille pas le lundi.
ThisUserNameIsBidon était un fan inconditionnel des comics consacrés à Zak Galou - un véritable fan qui poussait le mimétisme avec son héros jusqu'à se laisser pousser les cheveux et les opinions politiques hors de toute mesure. Les rares venues de ThisUserNameIsOulala mettaient Zak Galou dans un état de rage indescriptible, tant l'amour passionnel que semblait lui porter cet individu dont les tenues tenaient du Eddy Barclay post-sixième mariage, était pesant et improductif. Pourtant, dans sa naïveté (qui tenait toute entière dans son mantra : "je fais de la recherche opérationnelle" - comme si la recherche pouvait être opérationnelle, ahahaha), Zak Galou ne pouvait pas se douter que ThisUserNameIsFlyMeToTheMoon était le Very Big Bad qu'il attendait depuis le commencement du monde - et plus sûrement depuis le début de cette série dont ce post constitue et le quatrième et le plus mauvais épisode.
Revenons sur un phénomène de société qui débuta au début de sa vie et qui devait conduire ThisUserNameIsGoloGoloDansLaCase à la pointe de la modernité en matière de lutte contre les injustices sociales, qui d'ailleurs révoltaient déjà son arrière arrière grand-père le duc de Cradingue, qui disait souvent à Marie-Antoinette : "Tu sais ma grosse, t'as beau ressembler à la meuf de Spiderman, j'suis quand même vachement emmerdé par la situation du peuple", ce à quoi l'illustre autrichienne répondait avec beaucoup d'humour : "Mais c'est bien sûr, où avais-je la tête ?"
Issu d'une famille très très noble jusqu'au début 1789, très très révolutionnaire jusque sous Napoléon, très très bonapartiste jusqu'au début avril 1814, vachement royaliste ensuite, avant de faire une rechute de cent jours en 1815, puis ayant adopté une attitude bourgeoise qui devait perdurer jusqu'en mai 1968 et l'avènement de ce que Zak Galou appelle parfois poétiquement "ces enculés de gauchistes de merde", ThisUserNameIsTaratataTsoinTsoin était un véritable social-énervé.
Dans les ruines pompidoliennes naquit l'intuition politique du père de ThisUserNameIsOupsIDidItAgain qu'était venu le temps des cathédrales, que le monde était entré dans un nouveau millénaire, que l'homme avait voulu monter jusqu'aux étoiles, etc, etc. Après son internement, son fils adopta une ligne de conduite qui devait le conduire à réaliser son rêve : passer au journal télévisé.
A l'école maternelle, il fonda son premier syndicat "Tous ensemble pour le goûter", qui visait à destabiliser les surveillants oppresseurs du pain-beurre-confiture et du lait grenadine ; parvenu aux prix d'une longue négociation avec les partenaires sociaux à entrer en CP, il eut une scolarité presque normale (à quelques manifs près pour la libération des cocottes en papier) jusqu'à la création, au deuxième trimestre de CM2, d'un nouveau syndicat bien plus ambitieux : "Tous ensemble pour la sixième", dont le but comme le nom l'indiquait était de faire entrer tous les élèves au collège - il trouvait inadmissible que sous prétexte que certains hésitaient encore à mettre deux "s" à bistouquette, il fallait leur fermer les portes d'un avenir radieux.
Le collège fut un véritable plaisir pour lui, notamment lorsqu'il participa à la construction d'un boat people pour les inondés de Picardie, et qu'il passa pour la première fois à la télé, dans "C'est pas Sorcier" (le thème de l'émission ce jour là était "Comment marche un assemblée générale étudiante").
Le lycée, pourtant, fut sans commune mesure avec ce qu'il avait vécu auparavant. Délégué de classe, délégué syndical du mouvement "Tous ensemble pour le Bac", qui visait à faire obtenir à tous les lycéens leur baccalauréat - il trouvait d'ailleurs scandaleux que sous prétexte que certains avaient tendance à mettre deux "b" au pont Mirabo, (sous lequel d'ailleurs coule la scène, et ses amours faucille (et marteau) qu'il s'en souvienne, le joint venait toujours après l'haleine, Viennes la nuit, sonne l'Eure, les jours savon, île deux meurent Yoyome Apoluminaire n'est plus ce qu'il était) il fallait leur bloquer l'accès aux études inférieures ?? Le lycée fut donc une période faste durant laquelle il développa un franc-parler qui ne devait qu'en 2002 devenir un euro-parler.
Bref, il était prêt pour l'université où son talent désormais légendaire d'empêcheur de-rentrer-dans-la-fac en rond devait s'ouvrir comme une fleur des champs s'ouvre aux premiers rayons du printemps-la-redoute.
Donc, avec stupéfaction, Zak Galou vit entrer dans la salle des stagiaires du troisième l'innénarrable ThisUserNameIsPouic.
Ce qu'ils firent ensuite, les mots durs qu'il échangèrent, la lutte mortelle qui devait s'ensuivre, le retour blagueur de Mortadelle, l'apparition telle Obiwan à la fin du retour du jedi de Bubu en robe de chambre bleutée, tout cela, vous vous en doutez, vous l'apprendrez dans le prochain épisode des aventures extraordinaires de Zak Galou, le seul aventurier qui ne travaille pas le lundi.
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