Personnages mythique du LIP 6 : Joel Alexandre B. (première partie)
Joel Alexandre Bielau, dit Jabial, est un des mythes vivant du LIP6. Vous pouvez le croisser à l'heure du déjeuner au restaurant, à la pause café à la machine a café et au heure de travail dans son bureau. Jusque là tout va bien, mais ce qui distingue Joel Alexandre B., de son vrai nom Joelstein Alexandrowic Maïmon Israël ibn Moiche Serfati von Bielosky, du commun de l'humanité n'est pas qu'il soit blanc, mais qu'il soit convaincu que Adolph Reagan était un stal à la solde de Pékin et Eva Tatcher une dure de l'utra gauche. En effet, malgré une ressemblance troublante avec Ernesto C. Guevarra (voir photo), Jabial n'en partage pas vraiment les idéaux.
Et pour cause, depuis que sa famille s'est considérablement enrichie par le biais d'une vente massive de titres 10 septembre 2001 peut avant la cloture de la bourse, sa pensée fut libérée en même temps que lui des contingences matérielles. Il peut désormais accéder à une nouvelle dimension cosmique réminiscente de l'esprit qui releguerais Kant à la bilbiothèque Verte si d'autre que lui parvenait à la comprendre. Celle ci, bien moins limitée que nos idées convetionelles et plates de justice et d'égalité où un pauvre est un pauvre dans le besoin et que l'argent doit se prendre là où il est c'est à dire dans la poche des riches, celle ci donc pronne par une succésion d'arguments d'une incroyable mauvaise foi complétement interessés non pas de taxer les pauvres pour donner aux riches (ce que je pourrais comprendre, moi même étant en train de me refaire depuis j'ai récu ma bourse sur critères universaitre je me sent de nouvelles affinité avec la bourgeoisie) mais bel est bien de ne rien faire et de laisser chacun se demerder dans sa merdre ou de se désoiyer dans sa soie. On peut, à ce point de vue la démonstration, remarquer le lien étroit entre la philosophie zen et le Jabialisme. Cependant il va encore plus loin! Et plutot qu'une terne analyse en terme de lutte des classes, bien trop étriquée pour décrire les phénomènes complexes de la société, c'est bien un paradigme de lutte de tous contre tous qu'il nous propose - et qui a du charme - surtout si on appartient aux 4% les mieux armés. C'est donc un message d'espoir qu'il est venu transmettre à tout ceux d'entre nous qui sont pris à la gorge par l'ISF et n'arrive plus à joindre les deux bout pour payer les impôts de leurs hôtels rue de la paix. Certains en arrivent même à devoir emprunter! Mais ca tombe bien car on ne prète qu'aux riches.
Bien que el Che et el Jab diffèrent dans leurs objectifs, ils n'en différent pas moins sensiblement dans les moyens pour les atteindre. La semaine prochaine nous verront donc comment sa pensée résolument avant gardiste concoit l'avenir du prolétariat, et notament certaines idées très prométeuse sur le nombre de tissoniers et le calibre des tiges.
la suite dans la partie d'après qui suit la première avant la seconde.
Tous les matins au petit dej', je bois mon bol de sang de pauvre avec le Baron Ernest-Antoine. Ensuite, j'écrase le prolétariat toute la journée, à l'issue de laquelle je reçois les revenus du pétrole de mon pote George W.
par jabial | jeudi 11 mai 2006 à 00:15:00 UTC+2
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