Les aventures extraordinaires de Zak Galou - épisode 19, Black Pigeon Down (suite)
Totoboy, ln -s totobubu, contemplait Paris du haut de son nid-de-pigeon. Il savait que l'heure de la confrontation avec Zak Galou allais bientôt arriver. Voila des heures qu'il meditait. Le soleil s'était déjà couché depuis longtemps et la ville lumière à ses pieds semblait plus sombre et chaotique que jamais. Sur sa volière il n'arrive pas à faire le vide. Il focalise sur le diaphragme, augmente son énergie, réveille le pigeon qui dans son âme est tapie. Il vient de terminer sa préparation mentale. ll devait gagner, il doit gagner, il devrait gagner.
Zak Galou pend ce temps là arrivait au lip6, c'était étrange mais le temps était à la pluie, et les transports en commun en grève générale surprise. Il avait du tout se taper à pieds depuis l'hippodrome d'Arceuil dans l'Est parisien près de la porte de la muette (dans le 18 ème). En plus il avait réussit à se paumer : il n'arrivait jamais à se rappeler que c'était la première à droite après le Fouquet's qu'il fallait prendre et non la 8 ème à gauche. Mais il avait enfin réussit à se trouver sa direction, il doublait la statue de la liberté, longeait la seine sur le côté du bord et ca y est il y était.
En arrivant au seuil du lip6 il sentit bien qu'il y avais une ambiance électrique dans l'air. Les bateau-mouches passaient en faisant leur bzz caractéristiques, et la tour Eiffel était illuminée. Après une courte - quoi d'intense réflexion - Zak Galou se dit que tout cela était finalement totalement banal et qu'il ferait mieux de monter voir ce que voulais Totobubu plutôt que de rester là plutôt que d'être trempé.
Il était tard, le hall était vide. Seul le bande sonore des films pornos que les gardiens regardent sur leurs écrans de contrôle quand ils coient être seuls emplissait l'espace.
Zak Galou se rendit directement au fond du couloir, pris l'ascenseur le plus à droite des ascenseur à droite, et appuya sur le bouton du dernier étage. Sans même badger celui ci s'illumina alors, et la cage se mit en branle.
Le 11 ème était vide comme de toujours. Zak Galou ouvrit une fenêtre, sauta sur la coursive et grimpa jusqu'au toit en s'aidant de ses seuls mains, pieds, genoux, hanches, épaules et coudes.
Debout sur le toit, le marcel moulant déchiré (l'escalade n'avait jamais été son fort) trempé d'eau et de sueur collant à son torse nu et le visage fouetté par la pluie, il contemplait Paris. Des feux de joies éclataient un peu partout, et c'était à s'y méprendre, mais il semblait qu'une odeur de poils de culs de riches allais emplir l'atmosphère.
Soudain il sentit une présence. Près d'ici à l'horizon, il le savait, c'était Totobubu qui le contemplait depuis sa cache ultra secrète en haut de la tour Saint Jacques. Il savait que le moment était venu, il ne pouvaient plus reculer à présent.
Cependant la place du Chatelet c'est tout de même à 30 minutes de Bus, et les Bus en ce moment ils étaient paralysés par la grève générale. Alors le temps que Totobubu arrive, il avais bien le temps de lire au moins 3 shorts papers. D'autant plus qu'il avait repérer récemment une filon très prometeur sur des pommedp biologiques avec des utilités multicritères non-additives qu'il avait hâte d'explorer. La complexité du problème associé était d'ailleurs seulement 4-NEXP^NEXSPACE complet, ce qui était très prometteur! En arrivant au cinquième il croisa Patrice qui lui demanda si il n'avais pas vu Pasta. "Qui ca? Non vraiment je vois pas", lui répondit il avant de s'engouffrer dans son bureau.
Mais comment font ces scénaristes pour délayer à chaque fois un peu plus l'action? Y aurait il de la voix active et des temps verbaux autre que la passé antérieur dans la prochaine aventures? Pourquoi la grève générale (ou bien est ce le grand début de soirée de l'insurrection générale?) a elle été déclarée - et par qui? Vous le saurez sans doute en lisant le prochain épisode des aventures extraordinesques zakgalouiennes que Glou rédigera avec une probabilité subjective (sachant que la nuit tous les pigeons sont gris) de 0.42 sur l'échelle de Richter.
Zak Galou pend ce temps là arrivait au lip6, c'était étrange mais le temps était à la pluie, et les transports en commun en grève générale surprise. Il avait du tout se taper à pieds depuis l'hippodrome d'Arceuil dans l'Est parisien près de la porte de la muette (dans le 18 ème). En plus il avait réussit à se paumer : il n'arrivait jamais à se rappeler que c'était la première à droite après le Fouquet's qu'il fallait prendre et non la 8 ème à gauche. Mais il avait enfin réussit à se trouver sa direction, il doublait la statue de la liberté, longeait la seine sur le côté du bord et ca y est il y était.
En arrivant au seuil du lip6 il sentit bien qu'il y avais une ambiance électrique dans l'air. Les bateau-mouches passaient en faisant leur bzz caractéristiques, et la tour Eiffel était illuminée. Après une courte - quoi d'intense réflexion - Zak Galou se dit que tout cela était finalement totalement banal et qu'il ferait mieux de monter voir ce que voulais Totobubu plutôt que de rester là plutôt que d'être trempé.
Il était tard, le hall était vide. Seul le bande sonore des films pornos que les gardiens regardent sur leurs écrans de contrôle quand ils coient être seuls emplissait l'espace.
Zak Galou se rendit directement au fond du couloir, pris l'ascenseur le plus à droite des ascenseur à droite, et appuya sur le bouton du dernier étage. Sans même badger celui ci s'illumina alors, et la cage se mit en branle.
Le 11 ème était vide comme de toujours. Zak Galou ouvrit une fenêtre, sauta sur la coursive et grimpa jusqu'au toit en s'aidant de ses seuls mains, pieds, genoux, hanches, épaules et coudes.
Debout sur le toit, le marcel moulant déchiré (l'escalade n'avait jamais été son fort) trempé d'eau et de sueur collant à son torse nu et le visage fouetté par la pluie, il contemplait Paris. Des feux de joies éclataient un peu partout, et c'était à s'y méprendre, mais il semblait qu'une odeur de poils de culs de riches allais emplir l'atmosphère.
Soudain il sentit une présence. Près d'ici à l'horizon, il le savait, c'était Totobubu qui le contemplait depuis sa cache ultra secrète en haut de la tour Saint Jacques. Il savait que le moment était venu, il ne pouvaient plus reculer à présent.
Cependant la place du Chatelet c'est tout de même à 30 minutes de Bus, et les Bus en ce moment ils étaient paralysés par la grève générale. Alors le temps que Totobubu arrive, il avais bien le temps de lire au moins 3 shorts papers. D'autant plus qu'il avait repérer récemment une filon très prometeur sur des pommedp biologiques avec des utilités multicritères non-additives qu'il avait hâte d'explorer. La complexité du problème associé était d'ailleurs seulement 4-NEXP^NEXSPACE complet, ce qui était très prometteur! En arrivant au cinquième il croisa Patrice qui lui demanda si il n'avais pas vu Pasta. "Qui ca? Non vraiment je vois pas", lui répondit il avant de s'engouffrer dans son bureau.
Mais comment font ces scénaristes pour délayer à chaque fois un peu plus l'action? Y aurait il de la voix active et des temps verbaux autre que la passé antérieur dans la prochaine aventures? Pourquoi la grève générale (ou bien est ce le grand début de soirée de l'insurrection générale?) a elle été déclarée - et par qui? Vous le saurez sans doute en lisant le prochain épisode des aventures extraordinesques zakgalouiennes que Glou rédigera avec une probabilité subjective (sachant que la nuit tous les pigeons sont gris) de 0.42 sur l'échelle de Richter.
Vous noterez les libéralités proprement scandaleuses prises avec la numérotation pourtant toute scientifique des épisodes. C'est que, voyez-vous, ce pov' Zak Galou n'est pas foutu de différencier un flamby d'une crèpe au suc', alors lui demander de découper les épisodes dans l'ordre des croissants, il ne faut pas y compter !
par Glou | mardi 12 juin 2007 à 09:12:00 UTC+2
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