mercredi 31 janvier 2007

LST-blog-bd 30 : Final Fight : Flo G.VS Vista

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mardi 30 janvier 2007

LST-blog-bd 29 : A la recherche d'Alain Terre-nette


D'après une idée de Glou

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lundi 29 janvier 2007

LIP 6 Fashion : l'alter-recherche, un concept porteur

La recherche, c'est comme le reste, ca marche toujours mieux avec de la tchatche et des jolies images. Enfin, c'est ce qu'on se dit à posteriori quand la camarade-présidente du département vous demande si vous avez aimer la présentation du travail d'un homme qui pour plus alter-sexuel et plus juif que certains profs de LIBEMIA n'en est pas moins encore plus alter-competent.

J'exagère, qu'elle nous demande ce qu'on en pense tant mieux au contraire, c'est quand elle dit qu'elle a trouvée ca très bien qu'on commence à perdre subitement 10 dB en audition et qu'on trouve quelque chose de finalement très intéressant à sa biblio qu'on s'empresse d'aller verifier.

L'homme, que nous appellerons Catherine par commodité à commencé son show sa présentation par quelques mots pour présenter la démarche de "l'institut" dans lequel il ""travail"" : la recherche artistique et la recherche scientifique sont des phénomènes similaire, et il convient de les faire fusionner dans un grand tout unificateur. Bon, d'entrée de jeux la science se portait déjà plutôt mal, mais ca empire par la suite et ca n'est pas ça qui empêchera certaines personnes haut placées que je ne peut nommer maintenant que trop de gens lisent ce blog de tomber dans le filet de l'esbroufe, des effets de manche et de la belle parole.

Oui par ce qu'entendons nous bien, son tunnel virtuel qu'il creuse entre Montréal et Paris où s'affiche la "mémoire commune aux deux nations" sur les murs c'est déjà pas très joli, mais c'est surtout pas de la recherche! Et c'est bien ca le problème, le monsieur que nous appellerons finalement Priscila, se sert de la technologie comme support de réflexions artistique, philosophique et parfois sociologiques. Il n'y a dans ses réalisations clairement aucune problématique scientifique propre à être résolue par l'incomparable force de frappe scientifique de notre laboratoire, mais simplement des espèces d'oeuvre d'art moderne numérique qui ferraient se retourner Buren dans sa tombe tellement c'est moche. On peut certes "y mettre pleins d'agents" comme le soutenait avec fébrilité quelqu'un d'assez haut et d'assez placé, mais ca ne reste à ce qu'il me semble de mon humble avis de thésard 4 ème mois qu'une application d'un concept encore plus flou qu'une implication de Lukasiewicz.

Je bavasse, je bavasse, mais venons en aux gros morceaux pour vous qui n'étiez pas là : Jaqueline (oui j'ai préféré changer son nom) n'a pas seulement dit des conneries du genre "reverse-architecture" et "condition requise sur la plasticité du réel", il en a aussi fait. On pense notamment à son univers 3D encore plus laid que pyramids sur MacSE ou un joueur creuse un tunnel dans lequel se balade une bestiole constitué de cinq grosse boules et auquel il donne du plaisir lorsque les grosses boules s'approchent de lui; on entend alors en fond sonore des femmes simulant des orgasmes. C'était déjà pas très intéressant, mais ils nous précise que si il a mit des cris féminins c'est par ce que 95% des visiteurs d'imagina (où était présenté sa colonne de Buren numérique) étaient des hommes, mais qu'il a aussi melangé des cris de loups, de chiens et d'ours en train de jouir. Conclusion : la prochaine fois que vous irez à imagina faites gaffe si il y a pas derrière vous un ours ou un loup, on est jamais trop prudent et apparemment Jessica possède des statistiques béton sur les fréquentations.

Je ne parle même pas du projet le plus guignolesque dont je ne donnerais que le nom "Generate Integré de Failles Cognitives" et ce qui se cache derrière les 30 minutes de présentation fastidieuse que l'on a subit (dont la seules référence claire que l'on eu pu voir était Philipe K. Dick* avec ses "précogs**": permettre de la non linéarité lorsqu'une machine exploite les préférences d'un utilisateur : si l'utilisateur dit qu'il veut ne jamais voir Nolween à la télé et bien avec l'idée de Constance qu'il présente comme "un projet qui fait rever" l'utilisateur serra tout de même obliger de la voir parfois. Wahooo tout ca pour ca. Question pertinente de princesse Yas : pourquoi ne pas permettre à l'utilisateur lui même ses exceptions ou d'utiliser de l'aléatoire. Trop scientifique pour Gwendoline qui lui a répondu sur le plan de la psychologie de la philosophie et de la charlatanerie.

Passons à la suite : le tunnel (encore une fois! ce mec en plus d'être homosexuel a visiblement un problème avec les tunnels) qui permet de trouver à quoi ressemble dieu qui, dit-il, est notre créateur ainsi que de toute chose qui se trouve en ce monde. Et bien la réponse est que dieu ressemble à un portrait 20x30 pixels d'un mec au cheveux long sur fond de brique rouges. On applaudit bien fort, surtout qu'ajoute il c'est sortit en même temps que Doom! Le plus gros problème, concède il d'un air apitoyé, est de trouver des financements pour ses projets (par contre il joue très bien celui qui n'est pas venu là pour se trouver des sousous).

* : pour ceux qui ne connaîtrais pas, il s'agit de l'homme dont l'oeuvre a inspiré des films tels Total Recall, Planete Hurlante, Minority Report, A Scanner Darkly et probablement d'autres encore.
** : personnes dans certaines romans de Philipe K. Dick disposant de pouvoir mentaux tels que la télékinésie, ou voir dans la futur.


Vous avez remarquez, ca n'a pour l'instant rien avoir avec de la science c'est pourquoi Vincent C Dansl'air qui a invité Bernard à venir nous compter fleurette l'a à quatre ou cinq reprise réorienté vers le point culminant de l'exposé - et par la même la raison de la présence de l'énergumène dans ce temple de la science qu'est le 104 Passy-Kenedy - : le Desaïgneuh Comportemental***. Après nous avoir limite engueulé pour ne pas savoir à quoi ressemble le musée Gugenheim de Bilbao ni connaître le peintre art-moderne Mathieu, il nous expliqua que si le visiteur du musée est en interaction avec une oeuvre, l'oeuvre est aussi en interaction avec l'intérieur du musée de même que le spectateur est en interaction avec l'intérieur et l'extérieur du musée, c'est pourquoi on peut dire que le musée a "deux peau". Donc tout ce blabla pour en venir au fait qu'il fait et veut faire des espace en interaction avec les utilisateurs pour ses oeuvre d'arts.

*** : oui par ce que en plus il se la pète grave en citant dans un anglais complètement ouane-à-gaine je ne sais plus quel philosophe chinois.

D'aucun m'objecterons que tout cela est bien intéressant et qu'un mec qui parle de "fauteuil animé d'une vie propre" fait tout à fait ce qu'il prétend faire "mettre la fiction dans la réalité, et pas l'inverse". Ce à quoi je répondrais oui bien sur, mais peut être pas ici au lip 6 et en pendant une réunion qui se doit d'être sérieuse. Mais je n'ai rien contre l'instauration de sorties-goutés une fois par moi pendant lesquels on écouterait des philosophes, des sociologues, des théologues, des témoins de Jéhovah, des raëliens et des wahabites nous raconter leur vision du monde et de la science pour peut qu'on puisse y mettre un agent.

ps : arf, j'ai oublié de casser sont histoire de sculpture qui représente l'état émotionel du monde. Mais de toutes facon je ferrais plus court la prochaine fois, ca n'a aucun interet de se faire chier deux heures à rediger un post si c'est pour expliquer combien on à perdu son temps en trois heures de réunion.


Une journée ordinaire

Je m'empresse d'écrire une message vous dissimuler à mes chastes yeux l'immondice précédemment posté. L'occasion, donc, de vous raconter une journée ordinaire d'un programmeur lambda-badabada, ses doutes, ses joies, ses peines. L'homme moderne ouvre les yeux aux sirènes de l'informations sur Rires&Chansons, il se lève et il la bouscule, elle ne se réveille pas, bref, comme d'habitude.
A peine levé et déjà gonflé à bloc (surtout les yeux), l'homme moderne, appelons-le, disons, Zak G., se dirige vers la salle de bains pour ...
, il faut bien l'admettre, uriner un coup. Mais tout est très rapide, et il a tôt fait de réparer les dégâts sur le mur pour sauter dans ses vêtements, disons, un tee-shirt noir à l'effigie d'une icône de la scène communisto-cubaine et un vieux jean acheté en soldes dans un tout-à-10-balles de Ouarzazat. La petite brise le glace - et non la glace, même à la vanille - et Zak G. relève son col, il se hâte pour aller prendre son bus. Le bus, le train de banlieue, le métro, il arrive au boulot et comme le dit la chanson, il a très envie de faire dodo. Malheureusement, il est stipulé dans son contrat de travail - il a vérifié - qu'il doit travailler. Dur, dur, après avoir été formé à l'université ...

Avec les fils, il allume l'ordinateur, qui toussote avant de démarrer doucement. L'OS lui souhaite la bienvenue en japonais (un bug mineur l'empêchant de configurer convenablement la langue au démarrage), puis un script de mise-à-jour lancé automatiquement au démarrage lui permet d'aller prendre un café.
Quand il revient, la première chose à faire est de désinstaller l'anti-virus, qui non content de scanner perpétuellement la totalité des fichiers du disque dur, se réinstalle automatiquement toutes les vingt-deux minutes (international policy oblige). L'avantage est que, lorsqu'il lance une compilation, ou simplement qu'il veut cliquer sur le bouton démarrer, l'antivirus effectuant une analyse exhaustive de tout l'ordinateur - et sans doute un peu plus - il a le temps d'aller prendre un café à chaque fois. C'est un peu chiant, certes, mais bon, au moins il n'a pas de problème de virus, des fois que quelqu'un de malintentionné lui envoie une pièce jointe en .exe et que maladroitement notre héros clique sur Ouvrir puis Confirmer l'ouverture sans faire attention, provoquant ainsi un séisme planétaire sur l'échelle du disque dur. Il est donc très rassuré de pouvoir recevoir des mails sans danger.
Quand l'ordi est chaud, prêt à bosser, il fait comme tout informaticien quand il arrive au travail : il regarde ses mails (cf paragraphe précédent pour la sécurité).
Bon alors là, évidemment, il n'a rien reçu, mais bon, l'anti-virus, lui, il pouvait pas le savoir.


dimanche 28 janvier 2007

Interview exclusive des LaipSiksStyle

Le LST a une fois de plus été à la rencontre de l'une des plus grandes célébrités de la salle de la machine à café. Nous avons l'honneur de vous rapporter ici l'interview de ce groupe musical qui a soulevé le coeur de nombreux fans de la salle de pétanque, j'ai nommé, le LaipSiksStyle !



LST : Bonjour les LaipSiksStyle, nous sommes honorés de vous avoir parmi nous !
ZG et Glou : Bonsoir.

LST : Mais dites-moi, pourquoi n'êtes vous plus que deux alors que sur la jaquette de votre cd, vous êtes trois dessus ?
Glou : Disons qu'une dissension s'est élevée entre Bubu et nous. Il n'était pas en accord avec notre conception du blog-rechercho-scientifique.
ZG : c'est tout à fait cela.

LST : Ah. Parlons maintenant de votre meilleur tube "Rétrospectivement deçi-delà", comment vous est-il venu à l'esprit de traiter de la condition humaine dans une vision si politico-théo-philosophique ?
ZG : C'est venu lorsque nous étions en train de rédiger nos rapports de stage, nous avons senti, nos esprit communiés par la volonté de respect des dates limites de soumission, qu'il y avait là un réel problème de société.
Glou : Oui, et nous avons pu exalter nos méditations grâce aux très enrichissantes causeries avec nos compères en salle de pause au LaipSiks. Cette chanson est à nos yeux, un prélude au concept de la démocratie participative dont notre amie Ségolène s'est inspirée.

LST : Mais comment réagissez-vous face aux minorités qui vous accusent de plagier les Inconnus ?
Glou : Il n'est pas utile de porter de l'intérêt à ces opportuns qui n'ont même pas su distinguer la dissimilitude flagrante entre les réalisations des Inconnus et les nôtres. Nous oeuvrons sur un son numérique alors qu'ils opèrent sur de l'analogique.
ZG : Ils sont complètement sacharoses, car notre respect pour les Inconnus est bien connu. En partie, c'est un grand hommage que nous leur rendons au travers de cette chanson.

LST : Depuis le déménagement du LaipSiks, ajouté au fait que vous ne travaillez plus au même étage, il semble que les activités de votre groupe, ont fortement diminué. Avez-vous prévu prochainement un retour sur scène ?
Glou : Assurément. Il est exact que la distance est une forte contrainte, mais nous n'avons pas suivi le module de RP pour rien.
ZG : Actuellement, nous travaillons sur un nouveau tube à l'occasion des élections d'Avril-Mai. Nous n'avons pas encore trouvé le thème, mais comme nous encourage Nicolas S., ensemble tout devient possible.

LST : Eh bien, vous allez devoir vous activer à ce que je vois. Je vous remercie pour cette interview, et à bientôt !
ZG et Glou : Bonsoir.

LST : Nous nous quittons sur le clip Vice et Versa des Tranxen200 :




jeudi 25 janvier 2007

LST-blog-bd 28 : "Entre, tiens.", version 2


Et pour ceux qui ne sauraient pas ce qu'est un "entre, tiens", c'est par là.

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mardi 23 janvier 2007

LSTblog-bd 27 : une nouvelle aventure fabuleuse de Psikharpax



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lundi 22 janvier 2007

Les divagations misanthropiques de Zak Galou : Réflexion 5

Résumé : Déjà suffisamment aigris lors de l'épisode précédent, l'héro-interprète manifeste avec encore plus de violence son mépris profond pour une partie de la population sur laquelle la connerie ambiante à beaucoup plus d'effet que le biactol.

L'expérience que j'ai tenté récemment en restant plus d'un mois sans dialogue en direct, sans forum, sans blog mais tout de même pas sans mail (faut pas déconner), m'a donner l'occasion de rencontrer des gens extraordinaires dans leur médiocrité - mieux, leur nullité abjecte. Au debut je croyais à quelques cas isolés, mais non c'est une véritable tendance qui se profile.

Je ne parle bien entendu pas ici de nos amis programmeurs et consultants, qui sont de plus en plus nombreux à nous lire, mais bien des suivistes de ce qui semble être le dernier cris de la mode chez les ados de 15 à 17 ans de nos classes supérieures aisées.

Mais qu'est ce que c'est quoi?! Vous entends-je déjà glapir. Et bien cela consiste premièrement pour l'homme - comme pour la femelle (je ne dit pas "sa femelle" pour des raisons qui sembleront évidente sous peu) - de mettre un pantalon tellement stretch que le tissu qui fait 3 a 4 fois le diamètres de leur jambes arrive pourtant a s'enrouler et à mouler parfaitement les formes de leurs membres inférieurs. Pour une fille passe encore la nature les ayant (généralement) gâtées niveaux formes gracieuses; mais autant dire que pour un néo-pubère de 16 ans au physique tout sauf sportif ca n'est pas vraiment ca.

Qu'observons t'on? Et bien c'est tres semble on voit distinctement deux formes longitudinale dont la plus grande section doit avoir un rayon de 5 cm et la plus petite un rayon de 2 et demi entouré d'un tissu entièrement froissé qui révèle à la perfection leur constitution d'allumette. Le froissé ne fait pas l'effet légèrement dépareillé que l'on peut trouver dans une telle chemise, mais fait nettement l'effet draps amidonnés alors qu'il était en boules dans la corbeille du salle. Et vous l'aurez compris la combinaison des deux et vraiment très très très moche.

Mais ca n'est pas ca qui rend ces salles petites tâches spécialement gerbante. C'est le reste de leur apparence qui a elle aussi été travaillée avec soin pour ne laisser passer que des hauts le coeurs et retarder encore plus le jour où ces êtres déjà pas gâtés par la nature seront enfin des hommes accomplit. Que trouve on dans le reste? Une veste noir qui taille leur maigre buste au carré - laissant pour le coup presque invisible leur formes, ainsi qu'éventuellement une écharpe pour les plus snobinards d'entre eux. Si ca n'était que ca encore pourquoi pas, mais ajoutez à cela une coiffure à la Gus Van-Sant, une expression absente et stupide et un iPod branché dans les oreilles, et vous aurez un mélange tout à fait immonde, un peu comme un teckel à qui ou aurait mit une perruque blonde et des bas résilles.

Le point le plus délicat de la démonstration est la coiffure à la Gus Van-Sant. Tout le monde n'ayant pu voir les navets néo-nouvelle vague de ce réalisateur complètement hype, voici une image du film "Elephant" :

Vous l'aurez compris une coiffure aussi recherchée et au résultat si 'méduse sur la tête' fait déjà déjà pitié à voir. Mais quand on voit l'ingénuité avec laquelle ces salles petits cons dépensent des fortunes pour s'habiller aussi mal - alors qu'a deux pas d'ici les enfants de don quichottes luttent pour sauver l'Afrique de la famine, c'est proprement dégoûtant. Ils suivent la mode, ils suivent le consensus, ils savent rien, ils ne pensent rien, mais qu'ils sont bêtes, mais qu'ils sont laids! Si ca se trouve il suffit d'être à plus de deux pour les convaincre de se jeter sur les rails du métro - tient en voilà une bonne idée! Si seulement ils assumaient leur connerie! Mais non, impossible de capter leur regard, c'est qu'en plus ils sont timides!

Et leur chaussures je vous ai pas encore parler de leur chaussures? C'est des espèces d'espadrilles Nike, aux bouts allongés en triangle - un peu comme pour des tallons aiguilles mais en plus long et un peu plus large. Pour peu on dirait des chaussures à pointe comme robin des woods en portait jadis. D'ailleurs si ce n'était pour les couleurs aussi ternes de leurs vettements, il usffirait de leur mette un chapeau à grelots et quelques balles de jonglage dans les mains pour avoir un authentique bouffon en face de soi.

Conclusion : tard les vendredis et samedi soir mieux faut eviter Montparnasse, on croise vraiment n'importe qui.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui et il se fait tard. Demain j'ai deux tétées pardon, deux tédés à surveiller et ne pourrait donc vous entretenir de mon aversion pour les restaurants chinois de la rue Oberkampf qui le samedi soir plutôt que de refaire a manger et risquer de ne pas tout vendre, donnent les nems avariés de la semaine à leurs clients . Mais à tout malheur il y a du bon, et j'ai appris que Ségolène Royal(e) avait lancée sa campagne sur SecondLife! Que les fils des uns soit la descendance des autres ne m'étonnerait guère.


dimanche 21 janvier 2007

Les réflexions pfilosophique de Zak Galou : Réflexion 4

Résumé de l'épisode : alors qu'il prends le train Zak Galou renoue avec des envies de meurtres qu'il croyait disparues depuis la dernière fois qu'elles étaients apparues.

A t'on le droit de laisser les romanichels venir massacrer jusque dans nos métros et nos RER les plus grands succès internationaux et les plus grands artistes francais? Je sais bien que si ca n'était pas pour eux, plus personne ne jouerait d'accordéon à Paris, mais n'empêche il y a des limites! De même que nous ne sommes pas tous des Gustave Eiffel ou des José Bové, eux ne sont pas non plus tous des Django Reinhard ou des gitanes flamboyantes. D'ailleurs à propos de gitanes flamboyantes les seules que j'ai jamais vu sont celles des réclames à l'époque bénite où la pub pour le tabac était encore autorisée (je dit bénite par ce qu'une affiche "Marlboro Classics" ca avait tout de même plus de classe qu'une pub pour les patchs Nicorette).

Qu'on me comprenne bien je n'ai rien contre ces êtres dégénérés qui mériteraient la mort si seulement la branche droit-de-l'hommiste et féminisante de la gauche molle du chapeau n'avaient pas abolit - contre la majorité de l'opinion est il encore besoin de le rappeler - ce droit naturel des peuples à disposer de la vie des ennemis de la patrie.

Mais revenons a nos gitans. Il se trouve que l'autre jour dans le RER je fut témoins d'une scène d'une rare violence qui ferait passer nos amis francais de souche pour des enfants de choeur si il ne chantaient pas si mal déjà dès 1940. En effet alors que j'allongeais nonchalamment mes pieds sur la banquettes et jetait l'emballage de ma barre chocolatée à même le sol, un certain dénommé Josué (ou José - une coïncidence allez vous me dire) entreprit de son armorica dont il parvenait à peine à tirer 2.6 notes, toutes fausses, un massacre en règle de l'Hymne à la joie de Beethoven - pourtant classé patrimoine mondiale par l'UNESCO, mais que faisaient les casques bleus?. Hymne qui est, soit dit en passant, égalemment celui de l'union européenne - c'est dire si je me sentait concernée.
Une fois sont forfait accomplit et les petits vieux détroussé d'un "binjour misié" plus plaintif que mièvre, le criminel entreprit pour apparement remercier ses pigeons et en attendant l'arrivée en gare (que je priait d'être la plus imminente possible) une petite improvisation à l'aide de son instrument*. Improvisation qu'il cessa sur le champ, étant probablement encore plus déconcerté que nous par les sons qui en sortait.

l'incident clos, je me fit la réflexion : "A t'on le droit de les laisser continuer, tellement c'est moche ce qu'il font?". Reflexion a laquelle s'ajoutait la suivante : "Et si on les empêche, a t'on alors moralement le droit de laisser vivre et diffuser sur les ondes Florant Pagny, Pascal Obispo et les candidats de la Star Academy?" (oui on sait, c'est un zeugme, intutile de le faire remarquer il n'y a rien à gagner). Question qui resta sans réponse, j'arrivais à Montparnasse et il était de toutes facons trop tard pour éclater la tête du méchant qui ne l'était pas (car il avait beau jouer super mal**, il avait ce côté bohème qui manque tant à nos bourgeois depuis l'invention de l'ipod).

C'est tout pour aujourd'hui, la prochaine fois nous nous pencherons sur la questions révoltante des conditions de travail chez les tortionnaires. Ceux-ci effectuent un travail éprouvant physiquement***, psychologiquement (les cris ca use), ont des horraires à faire tomber raide mort un syndicaliste et ne sont jamais payés pour leurs nombreusse heures supplémentaires. Autant de questions qui apparement n'interessent pas le gouvernement et que les principaux candidats à la présidentielle prennent soin d'eviter.

* : Il' s'agit bien entendu pour ceux qui en doutaient de son armorica.
** : j'entends déjà d'ici les piaillement nerveux des connard bien pensant me dire "Bein quoi tu sait jouer toi? Non? Alors ferme ta gueule!" : on est démocrate dans l'âme où on ne l'est pas.
*** : ernies disquaires, lumbagos et tendinites guètent, sans compter les risques dues à la manipulation de produits ou d'outils dangereux.


vendredi 19 janvier 2007

Remasteurisation de Stage Ouars, un Nouvel Ecumoir

En hommage à la répulsion de Glou face à Star Wars et à la SF [1][2], et vu qu'on est en pleine période de nostalgie des anciens posts, voici une remasteurisation du film consacré à la terrible guerre qui avait éclatée au Laipsiks l'année 2006 -> Stage Ouars, épisode 4, un Nouvel ecumoir


Starring : Glou, Yasmine, Pata, Nono


Le problème de trouver des nouveau locaux pour le Lip siksh - en passe de devenir l'affaire du déménagement - n'en finit pas de rebondir. Le choix du chancelier Jean-Patrick Palpatine établi motocratiqument après consultation des astres ne fait pas l'unanimité parmi les autres sénateurs. Après lui avoir voté le fast-track, celui-ci contrôle déjà les huitième, septième étages et sithième étages. Les chevaliers Ater sont traqués dans toute la galaxie, seule une poignée a pu rejoindre la rebellion qui réorganise ses forces dans un petit bureau perdu au fin fond du neuvième étage face à l'ascensseur. La princesse Chariff-Djebbar prépare une attaque contre l'arme secrète de l'empire : le Bug de la Mort capable de détruire sans bouger les oreilles tous les programmes qui ne font de la reconnaissance de forme sous Windows. Le jeune Antoine Vador, espoir de la rebelion, a rejoint le coté pas bien éclairé de la recherche après avoir fait un rêve étrange où on lui mettait des 20 à tous ses partiels d'apprentissage et de recherche d'information. Obi-Wan Sabouret poursuit la formation du jeune Luke Opsomer, désormais le seul espoir de la rebellion.

Par Zach' Galou


Rediffusion - Bubu

Un fan hystérique m'interpelait ce matin sur la désaffection de ce blog pour l'illustre Bubu, qui n'est plus ici que régulièrement raillé. "C'est comme si le LST voulait nous faire croire que Bubu n'était plus qu'un has-been".
Je ne rapporterai pas ici le reste de notre échange, virulent, mais j'ai eu envie de rappeler à ses plus grands fans qui était réellement Bubu, et la façon dont il a déboulé sur la toile.



Un pingouin ça vole énormément

Par Glou, mercredi 13 avril 05 à 08:56:40 :: General

Interrogeons-nous sur le docteur Bubu. Sa vie, son oeuvre, qui est-il vraiment ?
Georges Dobelliou Bubu est né à Chaville Rive Gauche à la toute fin du début du siècle dernier. Par la suite, il devait longtemps parcourir la ligne de train passant devant ses fenêtres : "Par la suite je devais longtemps prendre la ligne de train qui passait devant mes fenêtres (Mémé-moires, Souvenirs & blagounettes, 2003, Editions du Crying Penguin)". De son vrai nom Christian, Bubu passe très tôt maître dans l'art de se déguiser et de changer de nom, ainsi dès trois ans ses parents lui achètent une cape de Zorro : aussitôt, Bubu s'entoure la tête de cette chapka improvisée et courre partout dans l'appartement en criant : "je suis un renard, je suis un renard !". On rapporte que le mimétisme est troublant.
Ecolier brillant quoiqu'un peu terne, il obtient son bac vers treize ans et demi et entreprend aussitôt de brillantes études de médecine-marabout dans le hall d'accueil des réfugiés à Orly, sous la tutelle de Mamadou Mamada, l'un des plus brillants enseignants africains. Bubu passe toute la semaine à Orly ; comme il est pauvre il est forcé de faire la manche pour s'acheter de quoi manger, et ne peut rejoindre ses parents qui ont déménagé à Lechéné ; il reste donc à Orly même le dimanche - et nom de dieu c'est triste Orly le dimanche !
Heuresement,il apprend très vite et obtient son diplôme à quinze ans. Comme son système pileux visageale est déjà fort développé, il peut ouvrir un cabinet d'exorciseur-marabout à Outreau, où il restera pendant dix ans et publiera ses plus fameux ouvrages de vulgarisation : "La fusion nucléaire - oulala purée c'est chaud !" (1834), "La glace gelée - oulala purée c'est froid" (1234) et enfin celui qui lui vaudra le prix Nobel de Physique : "Le Sport d'un sportif - c'est super le jogging ! " (2001). Durant l'écriture de ce dernier roman, il développe effectivement un physique de rêve qui lui fait rencontrer les plus grand tops models de la planète, parmi lesquels Bernadette Glanglan et Géraldine Bubu, sa cousine par alliance inter-éloignée. Il épousera cette dernière en se convertissant in extremis à un catholicisme revendicatif, qui lui fera notamment prôner le retour aux châtiments corporels (cf l'article paru dans Voici, Le Monde Religieux et la Gazette de Lechéné : "De la-baffe-dans-la-gueule dans l'éducation de nos enfant"), à la messe en latin (cf "Cogito-ergo-sum-tu-quoque-me-fili-alea-jacta-est"), ainsi que la création d'une journée mondiale de la médecine-maraboutiste-catholique (cf "Comment l'exorcisme marabou peut vous sauver du vih").
Si jusqu'à aujourd'hui sa renommée mondiale n'a fait que s'accroître, c'est notamment grâce à sa participation à de nombreux jeux de real-tv, mais aussi à sa constante anticipation sur les moeurs de son temps : il avait ainsi prévu dés décembre 2004 que la mode de juillet-aout 2005 serait aux bikinis sur les plages et aux shorts et marcels un peu partout ailleurs ; qui ne se souvient pas l'avoir vu ainsi habillé en pleine rue, photographié le jour de Noël alors que des enfants lui envoyaient des boules de neige à la sortie de la messe ? Cette constante avance sur son temps, qui a d'ailleurs marqué son travail souvent incompris (cf en 1994 :"Dites non" que beaucoup de gens ont pris à tort comme un hommage à De Gaulle alors que c'était déjà une critique de la future Constitution européenne), a entraîné parfois un désavoeu de la part de la classe politique, qui n'a vu en lui qu'un nouvel épiphénomène de mode interne à la communauté catho-pingouine (cad des pingouins catholiques).
Pour conclure, nous tenons à dire que nous sommes ici très heureux d'accueillir un intellectuel comme le Docteur Bubu, qui a pris ce nom dit-on, en guise de clin d'oeil à l'intention du Docteur Petiot, autre grand incompris.


jeudi 18 janvier 2007

La science-fiction, c'est nul.


Dans science-fiction, il y a surtout fiction.
On le sait de longue date, les séries télévisées et les films prennent les spectateurs pour des cons. C'est un état de fait qui, s'il est choquant, n'en est pas moins une nécessité si l'on se place du point de vue du distributeur - ce n'est donc pas sur ce point précis que j'entends m'insurger.
Enfin, si, quand même un peu.

Par désoeuvrement, je regardais pas plus tard que le week-end dernier le premier épisode de la série Heroes, qui si j'ai bien saisi parle d'un groupe de garçons et de filles se rendant compte un beau jour qu'ils sont dotés de ce qu'il est commun d'appeler depuis Superman des "super-pouvoirs", alors même que ce ne sont généralement que des tares franchement pas pratiques.

Avant de reprendre le fil de la phrase précédente, appartons ensemble sur quelques exemples de ces pseudos superpouvoirs censés nous faire fantasmer. Premier d'entre eux : la faculté de voler ; entre les couloirs aériens et les voies migratoires - entre grippe aviaire et gaz d'échappement de supersonics - l'homme-volant en a de la chance ! Pour un peu, il se fait détecter par un radar anti-missiles et zou, il se fait atomiser le collant bleu et rouge. Donc bon, voler, si c'est pour se prendre un suppositoire de l'armée, bof bof.
Un autre exemple ? L'homme invisible. Encore un exemple énorme de fausse bonne idée. J'entends d'ici Bubu me rappeler la possibilité d'aller dans les vestiaires des filles incognito. Alors ok, mais quand on est invisible, ça veut dire qu'il faut éviter tout le monde, parce que tout le monde est incapable de t'éviter. Pire que ça,
l'homme invisible ne peut se voir lui-même, ce qui fait qu'il se cogne, qu'il est incapable de se raser - combien se sont d'ailleurs tranché la gorge en essayant ? - qu'il est forcé de pisser assis, et je vous épargne les détails sur la grosse commission invisible.
Ils sont tous ainsi, les superpouvoirs dont les scénaristes croient malins d'affubler leurs héros. Quand ils ne sont pas à double tranchant, ils sont clairement ridicules. Il faudra m'expliquer l'intérêt d'avoir des pouvoirs d'araignée : avoir du poil aux pattes et les mains qui collent, youhou c'est mon rêve ! Hulk ? On dirait Géant Vert, le type qui vend des petits pois et du maïs. Ah tiens, ça me fait penser : est-ce qu'un abruti de scénariste pourrait m'expliquer ce qui arrive aux fringues des super-héros ? La super-couturière de Clark Kent a fait trois tentatives de suicide à force de recoudre ses super-boutons de chemise, idem pour Spiderman ; quant à Hulk, c'est carrément tout son budget qui y passe, à chaque fois qu'il s'énerve. Ce pauvre
Hulk a bien essayé de s'habiller en survets Decathlon, rien n'y fait, ça craque quand même. Il a même demandé à Carlos de lui refiler ses vieilles fringues, mais bon, il avait encore plus l'air d'un con, tout vert dans des chemises à fleurs.

Bref, je regardai le premier épisode de la première saison de Heroes, et je tombai en arrêt devant le passage crétinophile où le chinois (enfin, le japonais je crois, mais j'en sais rien, en tout cas ça se passe pas à Bourg la reine, ça c'est sûr) essaie sur son lieu de travail de, je cite : "briser le continuum espace-temps".
Je passe sur le navrant de l'expression pour vous décrire la scène : petit gros à lunettes, il a l'air d'avoir quinze ans mais il travaille dans un open-space, un emplacement d'un mètre carré, un bureau, une chaise et une petite horloge de table. Et tout son superpouvoir, à ce super-demeuré, c'est de faire reculer le temps. Et il est convaincu d'y être parvenu en voyant l'aiguille de ladite horloge reculer d'une minute.
Je laisse un ange passer pour que vous vous imprégnez de cette aberration.

... -__- ... O__- ... O__O ... -__O ... -__-

Alors deux choses : d'abord, en admettant que l'horloge ait la possibilité physique de reculer - c'est vrai qu'il aurait eu l'air d'un con avec une horloge sur laquelle les aiguilles ne peuvent pas aller dans leur sens contraire - qu'est-ce qui lui prouve, à cet avorton de merde, qu'en plus de me briser les couilles, il a bien brisé le continuum espace-temps" ?? Parce que ça pourrait très bien être une défaillance de l'horloge après tout.
Ou l'effet de son riz hallucinogène. Mais passons. D'un autre côté, il a reculé le temps d'une minute. Admettons. Mais, si c'est le cas, comment diantre se fait-il qu'il est le seul à s'en rendre compte ? Et toutes les femmes qui avaient accouché pendant ladite minute écoulée puis reculée ? Elles ont remballé le gluant et re-dépoté ? Et tous les chti n'enfants morts de faim dans le monde ? Ils sont morts, ressucités, et pif paf re-morts ? (On viendra pas dire après que les associations humanitaires gonflent les chiffres de la mortalité enfantine) Et l'automobiliste qui s'est mangé un arbre, ou un piéton, est-ce qu'il ne va pas pouvoir l'éviter la deuxième fois, ou est-ce qu'il va l'emplafonner exactement de la même manière ? Et s'il l'évite, est-ce qu'il n'y a pas quelque chose de brisé définitivement dans le temps qui nous conduira tous à la huitième guerre mondiale ??
Alors, ok, vous me direz que c'est juste une petite minute de rien du tout dans un feuilleton à la con. C'est vrai. Mais, en se plaçant dans le monde totalement aberrant des scénaristes de science-fiction, en acceptant leurs codes débilissimes, on se rend vite compte qu'entre non-dits et vérités non-assumées, le monde qu'ils entendent créer pour nous vendre du divertissement est un con errant, pardon incohérent.

Enfin voilà, je n'aime pas trop la science-fiction. Ce n'est pas dans RIS Police Scientifique que des choses pareilles pourraient arriver. D'ailleurs, vous avez remarqué, il y a un type qui fait sa thèse dedans...

Méfiez-vous thésards de France, votre status de pauvre pourrait bien cesser grâce à une série de merde. Il y a déjà eu des prises de conscience politique pour moins que ça (et accessoirement des prix collectifs du meilleur acteur à Cannes - je pourrais faire un post sur ces acteurs qui sont bien, mais que quand ils jouent ensemble, c'est une idée).


Travailler en chantant : une alternative à l'ipod


En allant travailler ce matin, Zak Galou fredonnait une chanson sur la fille du bédouin. Afin que chacun puisse se faire une idée de la culture étonnante de notre héros, et également pour que rien ne se perde, voici les paroles de la chanson fredonnée par MC Galou : (je met deux versions parce que, bon, y a des enfants qui nous lisent)
- Pour les oreilles sensibles (Little endian, c'est par là)
- Pour les autres (Bubu, tu peux y aller)

Ici, toute personne ayant des droits administrateurs pourra insérer la vidéo et/ou le mp3 correspondant, mais je ne me souviens plus du groupe de metal qui chantait cette chanson, alors je suis bien incapable d'en trouver une vidéo sur le net. Bref.


mercredi 17 janvier 2007

Les aventures extraordinaires de Zak Galou - Episode 15 : Zak Galou contre Bernadette

Pour qui s'est un jour aventuré sur la ligne qui lie - c'est un bien grand mot, mais nous y reviendrons - Versailles Rive-Droite à Paris-St-Lazarre, il ait des fois où, en toute bonne foi, et malgré la profonde sympathie que l'on éprouve à l'égard des cheminots, on a envie de se dire : "Putain font chier ces cons".
C'est en résumé ce que se dit ZG, en ce matin d'hivers tiédasse, alors qu'il faisait le pied de grue sur le quai.

Mais notre héros n'est pas du genre à se laisser empapaouter très longtemps ; des trésors d'imagination lui permettent en toute circonstance d'oublier et la goutte au nez et l'ennui mortel d'un quai de gare sans jupette ni taille-basse à l'horizon. Fréquemment il jette des petits coups d'oeil rapide à l'écran de micro-ondes censé indiquer les horaires de passage des trains. Aujourd'hui, il n'en revient pas : l'appareil, dont on dit qu'il est 16/9ème siècle, n'est pas en panne. C'est exceptionnel. C'est un peu comme si, en toute honnêteté, Sarkozy déclarait avoir changé et que la Hollande s'en foute Royal.
Non, aujourd'hui, pour la troisième fois (ou moins) en plus de 150 ans, l'écran indicateur n'est ni cassé, ni hors-service.
Zak Galou est tout ému par cette découverte, plus encore que la fois où il a découvert qu'en prenant les escaliers, il n'était pas obligé de pointer comme dans l'ascenseur. Il est ému parce que cet écran-indicateur est le digne fleuron de l'IA en France. Sans rire. Vous en connaissez beaucoup, vous, des appareils ménagers capables d'introspection, et qui peuvent dans le même temps savoir qu'ils sont en panne, alors même que normalement, s'ils étaient en panne, ils devraient perdre leur faculté d'introspection ? Notre héros en est à guetter, sur l'écran bombé et noirâtre, la moindre petite balise XML laissant à penser qu'il y a du VDL derrière tout ça ... Mais c'est impossible, Nono ne peut pas avoir plus de 150 ans, ou alors ce ne serait qu'un imposteur et il aurait piqué le VDL à un autre chercheur, ancestral, qui a lui connu Aristote... Mais Zak Galou ne peut pas le croire.

L'écran est là, immobile au bout du bras métallique qui le tient accroché comme une huître au lampadaire qui lui, tiens, est cassé.
Un train est annoncé pour arriver à 10h22. Il est 10h34, d'après ce même écran (vous noterez l'implémentation schizophrène cachée derrière ces deux horaires. ZG pense à la programmation modulaire, tellement modulaire que chaque infime partie de l'écran ne communique qu'avec elle-même, un peu comme Bubu).
En fait, pour bien comprendre la possibilité qu'un train soit annoncée à 10h22 alors qu'il est déjà 10h34, il faut avoir suivi un cours sur la théorie des sous-ensembles flous (SEF). Et assimiler le fait que, lorsqu'un train arrive à l'heure, c'est en fait le train précédent qui arrive en retard.
Une fois accepté ce postulat, il reste à se familiariser avec la politique de la SNCF consistant à ne donner que des horaires flous.
Ainsi, posons A = {arrivera entre 10 et 11h}.
On peut inférer à partir de l'affichage que le degré d'appartenance du train (noté TER) à A est de 1/22. Bien sûr, cet écran est limité en cela qu'il ne donna pas le degré d'appartenance de l'envie de pipi (EDP) à A. Mais bon, c'est déjà pas mal.

Zak Galou en était là de ses pensées lorsque, subitement, à 10h88 (heure de l'écran), le train de 10h22 fut marqué comme étant "en approche".
Ce nouveau SEF, noté B, est une partie de A.
Il demeura en approche pendant environ 22 minutes, puis passa en "à quai".
Zak Galou aurait bien aimé monter dedans, mais ce n'était pas celui-là qu'il attendait.


lundi 15 janvier 2007

LST-blog-bd 26 : 2nd International Conference on Summer Holidays, call for paper


Bd réalisée par les Studios ©LiGloZak avec une ingénieuse idée de scénar de Mlle Y. !

Et si vous êtes intéressé par l'excellent article écrit par les Nono, suivez ce lien : ICI

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vendredi 12 janvier 2007

Le secret de la machine à café

Alors que son doux poison coule déjà dans les veines de tous les laipsiksiens, que pres de 250 litres de café ont déjà été ingurgités par de naifs Thésards engagé comme gouteurs à leur insus, la machine du 6ème n'a pas fini de nous étonner. Notons au passage que la machine à café est branchée en réseau avec le distributeur de chips, ce qui, il faut bien l'avouer, est tout à fait normal dans un laboratoire d'informatique. (Ne parlons pas non plus du loading avant du pouvoir récupérer son gobelet).

Mais revenons au vif du sujet, au coeur de la bete, à la surprenante et stupéfiante révélation de ce que nous nommons déjà au 5 ème étage comme la plus puissante découverte depuis le Claim. En Thésard motivé, j'ai pris comme il se doit mon 427 eme café de la journée (1/pause), et lorsque ce sulfureux liquide s'infiltra au creux de ma gorge j'ai soudainement compris les secrets du Thésard perdu. Oui je sais, vous allez me dire que le légendaire manuscrit sur comment réussir sa thèse dans une salle de pause tout en se désopilant avec ses amis n'est qu'une rumeur et que de toute facon ce document à été perdu dans un des nombreux ouvrages de quelques miliers de pages sur le VDL en 10 lecons simples. Mais apprenez que sous-estimer le second effet du café selectétoile c'est faire preuve de sa profonde ignorance sur les rouages quantique élémentaire du premier ordre du perceptron dans les états aqueux et que nous savons tous ici que personne n'est ignorant sur ce sujet.

Voici donc un bref (mais complet) résumé (mais précis) de toute cette formidable inspiration que provoque ce suculent café.


Réussir sa thèse simplement avec Selectétoile

Résumé
"La vie n'est bonne qu'à deux choses : découvrir l'IA et enseigner l'IA"

1 Principe de base
1.1 Axiome de la continuité
En essayant continuellement, on finit par réussir.
Axiome bien plus puissant qu'il ne semble l'être, d'ailleur ce puissant corollaire qui suit est à la source de la folie qui est la cause de notre présence à tous dans ce havre de bonheur.
1.2 Corrolaire du thésard
Donc plus ça rate, plus on a de chances que ça marche.
Démonstration (par Aristote)
Scientifiquement prouvé par induction

2 Recherche du plus court chemin dans un graphe à une arrete valuée
2.1 Théoreme
Le plus court chemin d'un point à un autre est la ligne droite
2.2 Précision du thésard
A condition qu'ils soient bien l'un en face de l'autre.
2.3 Démonstration (par Aristote)
Est rigoureuse toute démonstration, qui, chez tout lecteur suffisamment instruit et préparé, suscite un état d'évidence qui entraîne l'adhésion.

Conclusion
Il est difficile de faire la différence entre un thésard qui dort et un thésard qui travaille.
Corrolaire de la conclusion
Il ne faut jamais désespérer d'un imbécile : avec un peu d'entraînement, on peut toujours en faire un thésard

Sur ce, il est temps pour moi de faire une petite pause après tout ce labeur et d'aller reprendre un de ces si merveilleux cafés étonnement surdosé en caféine afin d'augmenter la productivité inexistante du thésard.


jeudi 11 janvier 2007

LST-blog-bd 25 : Thy right hand, O Lord is become glorious in power!


Avec la sombre collaboration de Glou et de ZG.

(cette fois-ci je vous passe une grande version pour vous épargner une visite chez l'ophtalmologiste !)
Je déteste dessiner de la foule ! bouarf !

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samedi 6 janvier 2007

Les réflexions philosophiques de Zak Galou - Réflexion 3

"Au paradis des trous du cul, les suppots(zitoires) de Satan ne sont pas à la fête", nota Zak Galou au frontispice (di counasse) de son écran d'ordinateur. A chaque début d'année, et ce depuis la première fois où il l'avait fait, Zak Galou avait pris quelques habitudes :
1) Laver son tee-shirt du Che (vous savez ce que c'est, les bonnes résolutions...) ;
2) Trouver une devise pour la nouvelle année - il se souvenait encore avec émotion de sa brillante idée de 2002 : "Ma devise, c'est l'euro" - c'est l'explication de l'haiku aphoristique qui ouvre poétiquement ce nouveau post
3) Mettre un point-virgule au 2) afin d'uniformisation ;
4) Dresser un bilan de l'année passée afin d'en conserver une vision claire et efficace à l'esprit ;

C'est la raison pour laquelle, mesdames et messieurs, nous avons le plaisir de vous présenter aujourd'hui, et uniquement pour le LST, dans le cadre d'une nouvelle réflexion philosophique de Zak Galou, le BILAN DE L'ANNEE 2006.



_ Janvier : rien n'est plus triste que de débuter l'année avec une faute grammaticale, d'autant que débuter est un verbe intransitif et qu'il n'est pas tolérable que n'importe quel abruti débute quelque-chose, quand bien même ce ne serait qu'un abruti débutant. Rien n'est plus triste que de commencer l'année dans l'état dans lequel on a achevé l'année précédente. Sans doute est-ce fait pour se rassurer, afin que le passage à la nouvelle année, authentique tsunami cérébro-spinal, ne provoque pas chez ses victimes de désarroi cosmique vers un nouvel âge pas tout à fait réminescent.
Toujours plus malin que les autres, Zak Galou contournait cet état de fait (et de fête) en s'endormant systématiquement à 23h55 pour se réveiller à 00h05. Son éveil correspondait alors à la naissance de l'année et à la fin du débouchage sauvage de la première tournée de champomy.
Janvier 2006 fut un mois de merde, friscouillet (c'est comme même frisquet mais en plus on se gèle les couilles) et ventu. Zak Galou passa le gros du mois à réviser ses examens passés et futurs.

_ Février est le mois le plus Rebel-Rebel du calendrier. Non content de pousser janvier dans les orties, février se targue d'être court et intense ; et comme le liquide vaisselle, quand y en a plus y en a encore avec un fameux 29ème jour qui est la journée internationale des bi, tous les quatre ans.
En février, c'est le temps de la déprime, les examens sont râtés, le froid s'est installé durablement et les bises du nouvel an ont fait place à la bise. Février 2006 : Zag Galou est malheureux et révise ses partiels passés et futurs.

_ Mars : et ça repart. Mars giboule et les filles commencent à enlever des épaisseurs de pull. Zak Galou se nettoie les lunettes pour mieux y voir ; en 2006 plus encore que les années précédentes, il est sur les dent pour se dénicher un stage. Il fait doux, le tee-shirt du Che saille sur ses biscottos poilus, Zak Galou se concerte avec Bubu pour déclarer ouverte la chasse à la gonzesse.

_ Avril : En avril trouver un stage ne tient qu'à un fil et Zak Galou débarque au LaipSiks apeuré, désespéré, et inconscient des joies qu'il y trouvera dans son développement personnel (Frozen Bubble, E.T.) et sexuel (la caissière de la cantine, Pasta, Firefox 2.0 et Ubuntu dapper drake). C'est le début d'une grande aventure et comme tous les débuts, c'est tiptop. Fin avril, Zak Galou a le sourire et, comme dirait Bubu qui n'en manque pas une, il a le vent en poulpe.

_ Mai, car il y a un Mai, c'est le début des désillusions, les défaites s'enchaînent au Frozen Buble, il se rend compte qu'il n'y a rien foutu du mois d'avril, le printemps entraîne la réapparition des jupettes ras du genoux et des décolettés affriolants ; il passe beaucoup de temps sur les verges, pardon : les berges de la seine, son maître de stage lui fait part d'une réflexion philosophique qui va bouleversifier sa vie : le min des sommes n'est pas tout à fait égal à la somme des min. Et là, c'est le début de la fin.

_ Zak Galou se remet à fumer des Juin, le stage n'avance pas, sa nouvelle célébrité blogastique n'en finit pas de ne pas arriver, il a sur le dos trois plaintes pour attouchement sexuel sur touristes étrangères, le tee-shirt du Che commence à sentir et, comble du comble, Flo Galou commence à effectuer des repérages dans le bureau du troisième.

_ Juillet ressemble un peu à Janvier dans la mesure où ça commence le premier du mois et qu'il y dort beaucoup. Il rédige un bout de biblio piqué sur le net, il fricote avec des Américains qui ont amené une Américaine, l'été est là. La chaleur torride du métro l'incite à fréquenter les heures de pointe à la recherche d'un contact corporel. Il croise Bubu.

_ Aout : c'est un mois merdeux quand on reste sur Paris. Bubu lui sort une blagounette : "Tu te sens pas un peu out ?" qui fait tâche d'huile et Manu prend la haute main sur le blog en tâchant de lui donner une tournure érotico-animatlab. Tout le monde semble être en vacances sauf lui, la solitude le met au boulot et il abat et les Américains et une bonne partie du boulot en retard. En plus, Flo Galou qui contre toute attente a commencé son stage au troisième en a profité pour partir aux States.

_ Septembre : c'est la fin des haricots, bientôt le début de la thèse, la soutenance de stage, la rédaction du rapport à terminer. Zak Galou passe son temps à bosser comme une brute pour refaire son retard à Frozen Bubble. Septembre c'est bientôt la fin de l'été et il a, pour citer une expression bubuesque, "la crevette comme une gambas".

_ Octobre rouge, puisqu'il part en Ouzbékistan sur un coup de tête ; il y connaîtra les geôles communistes pour avoir dit "Bonjour, comment ça va" à un type dans la rue. Le type finira pendu et Zak Galou restera trois semaines en prison. Il en profite pour améliorer son turkmène avec un détenu politique kazak.

_ Novembre est un mois à la con, le pire mois à la con qui soit puisqu'il faut reprendre le collier. Zak Galou est à fond dans sa thèse et il n'y a personne pour jouer à Frozen Bubble avec lui. Le déménagement du LaipSiks le plonge dans des affres de perplexité : "trouvera-t-il un bureau pas trop loin d'une fille ?"

_ Décembre c'est la période des cadeaux de Noël, Zak Galou envoie sa liste par mail à pereleon@lesitedomainduperenoel.fr ; le mail lui est retourné avec un message d'insulte en anglais. Il est tout près de tomber dans une profonde dépression, mais comble du hasard il reçoit depuis ce mail au Père Noel pleins de messages en anglais très intéressants lui proposant des moyens de le rendre plus compétitifs sur le marche au fond très fermé du sexe.
Le 31, il va chiper une boîte de cassoulet froid dans une tente des enfants à Don Quichotte, et se propose pour redonner un peu de chaleur humaine à une sans-abri de moins de cinquante ans (encore que).


Épiphanie

(Pour le coup du GPS, c'est une idée de ma Maman ^^)

(Ici, ce que vous voulez avant le lien)
(Ici vous racontez votre vie)

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vendredi 5 janvier 2007

LST-blog-bd 24 : nouveaux locaux, nouvelle mission pour sergent Bubu !


ancienne version de la bd ici

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mardi 2 janvier 2007

LST-blog-bd 23 : 2007 => Nouvelles résolutions !

D'après d'imprudentes paroles de Copolycube sur le forum ;)

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Les réflexions de la machine à café :

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A consommer avec modération tout abus sera puni, bloguer tue et réduit la fertilité, n'oubliez pas la damepipi a l'entrée etc. etc.